L’association « Parole d’Enfants » (Liège) a le grand plaisir de vous annoncer la sortie du livre :
« AU SECOURS, ON VEUT M’AIDER ! » Venir en aide aux adolescents en révolte, en rupture, en détresse…
Un ouvrage en 2 tomes destiné aux professionnels du social, de la santé, de l’éducation, de la justice, de la psychothérapie ainsi qu’aux enseignants et aux parents, publié par les éditions Fabert (Paris)
Les ouvrages sont disponible en service de presse sur demande à l’association Parole d’Enfants.
Tél. +32 (0)4 223 10 99
Courriel : Parole d'enfants
Internet : Parole
Tome 1 : Claude SERON
Tome 2 : ouvrage collectif
« Au secours, on veut m’aider » est un ouvrage en 2 tomes qui n’énonce pas une ènième théorie sur l’adolescence et ses avatars.
L’auteur propose simplement aux professionnels de la relation d’aide, de l’éducation, de la santé, de la justice, ainsi qu’aux enseignants et aux parents, des éclairages utiles pour agir et comprendre le vécu des adolescents en souffrance qui se murent dans différentes formes d’indifférence à eux-mêmes.
En effet, si l’on invite ces jeunes en révolte, désemparés ou plombés dans une inertie chronique à aller consulter un psy ou n’importe quel professionnel de la relation d’aide, cette proposition reste lettre morte. Ils se demandent à quoi bon parler de leurs problèmes ; ils ont la conviction de les connaître par coeur ! De plus, ils craignent qu’un psy les perce à jour, les piège à travers ses questions tordues et les étiquette en vertu de l’une ou l’autre de ses théories de référence.
Dans le premier tome, en invitant le lecteur à le suivre, à travers son parcours professionnel, dans l’accompagnement d’adolescents qui ne sont pas en mesure de solliciter de l’aide, Claude Seron propose différents modèles d’intervention, avec leurs atouts et leurs limites, pour agir concrètement dans diverses problématiques répandues :
- les adolescents « abandonniques » qui sollicitent constamment des preuves d’attachement tout en mettant à l’épreuve sans cesse la relation ;
- la révolte des « nourrissons géants », c’est-à-dire quand des jeunes se mettent à maltraiter leurs parents ;
- l’avenir des adolescents autarciques, chargés de porter les valises de leurs parents à la dérive ;
- l’explosion de la violence et de la délinquance des jeunes ayant subi nombre d’injustices et de mauvais traitements ;
- les agressions sexuelles : comment accompagner les jeunes auteurs et les enfants ou les adolescent(e)s victimes.
Claude Seron propose également différentes modalités pour intégrer les parents de ces adolescents en grande difficulté dans un cheminement psycho-socioéducatif restaurateur.
Le deuxième tome reprend la contribution de plusieurs orateurs à un congrès organisé sur le même thème par l’Association « Parole d’Enfants » il y a deux ans à l’UNESCO de Paris. Ouvrages disponibles en service de presse sur demande à l’association Parole d’Enfants
Tél. +32 42 23 10 99
Fax + 32 42 23 15 56
e-mail Info
Merci de votre contribution à la diffusion de l’information concernant la sortie de ces ouvrages.
L’auteur et son style d’écriture
Claude Seron est avant tout un homme de terrain, un praticien qui s’efforce de conceptualiser dans des termes accessibles à tous, le travail d’accompagnement des jeunes en grandes difficultés et de leur famille mené à l’ASBL « Parole d’Enfants » et au CLIF (Centre liégeois d’intervention familiale). Il a ainsi pu mettre à profit un conseil que lui avait donné Siegi Hirsch, un sage et pionnier dans la pratique et l’enseignement des thérapies familiales et institutionnelles :
« Ne cherchez pas à écrire comme un éminent docteur comme si votre parole à vous n’avait pas de valeur. Vous arrivez à expliquer des problématiques complexes avec des mots simples sans tomber dans le piège de la minimisation ou la sur-simplification. Vous permettez ainsi au lecteur de vivre pratiquement en direct vos interventions auprès des jeunes en manque de repères.»
L’auteur ne triche pas, il se présente avec ses failles et ses ressources ; son récit est ancré dans la vraie vie des jeunes qu’il aide à sortir du chaos, à construire quelque chose qui donne sens à leur vie et leur permet de vivre en paix avec eux-mêmes et leur entourage fragilisé, souvent dépassé.
Au début de l’ouvrage (nous sommes en 1975), c’est l’éducateur créatif, novateur et quelque peu irrévérencieux qui s’exprime. Un peu naïf, il fait confiance à son intuition, à son chaos pour bâtir avec les jeunes quelque chose de plus stable, de plus sécurisant qu’ils puissent habiter.
Au fur et à mesure de son évolution dans différents contextes professionnels, Claude Seron se forme, s’alimente auprès des meilleurs cliniciens en la matière, apprend à inclure les parents et la famille du jeune dans un projet qu’il voudrait voir émerger pour celui-ci. En effet, le jeune laissant transparaître toute l’ampleur de sa vulnérabilité à travers son inertie, son mutisme, ses réactions violentes ou auto-mutilatoires, il lui faut rechercher du soutien auprès des proches encore mobilisables.
Dans l’épilogue du livre, Claude Seron revient sur les grandes étapes de sa trajectoire professionnelle. Il jette un regard critique sur certains choix qu’il a posé durant 30 années d’activité au sein de l’Aide et de la Protection de la Jeunesse, d’abord en hébergement puis en consultation en milieu ouvert mandaté par les autorités judiciaires et administratives. Se dégage ainsi un souci constant qui l’anime : toujours chercher à ramener au sein de l’humanité ceux qui, à travers leurs actes effrayants et fracassants, ont tendance à s’en exclure.
Un travail passionnant d’artisan que nous fait découvrir l’auteur qui nous rappelle ça et là qu’on ne peut arriver à être utile à ces adolescents en révolte, en rupture ou en détresse, qu’à force de ténacité, de rigueur, de respect et de bienveillance ; sans complaisance, ni diabolisation.
Biographie
Marié et père de famille, Claude Seron est également psychopédagogue. Depuis 1975, son itinéraire professionnel lui a permis de grandir aux côtés de jeunes et de leur famille, en hébergement, en milieu ouvert, en consultation libérale, dans l’enseignement et comme intervenant familial mandaté par une autorité administrative (le S.A.J.) ou judiciaire (le S.P.J. ou le Juge de la Jeunesse). Il est co-fondateur de l’association « Parole d’Enfants », du CLIF (Centre liégeois d’intervention familiale) et de l’Institut Gregory Bateson.
Il est l’auteur de :
- AIDE OU CONTRÔLE ; l’intervention thérapeutique sous contrainte (avec JJ. Wittezaele), De Boeck, Bruxelles, 1991;
- VIOLENCE AGIE, VIOLENCE SUBIE (avec Catherine Denis, Dir), Jeunesse et Droit, Paris, 2000 ;
- MISER SUR LA COMPETENCE PARENTALE (Dir.), ERES et Jeunesse et Droit, Ramonville Saint-Agne / Paris, 2002 ;
- LA RESILIENCE OU COMMENT RENAITRE DE SA SOUFFRANCE (avec Boris Cyrulnik, Dir.), Fabert, Paris, Collection « Penser le monde de l’enfant », 2003
Association « Parole d’Enfants »
Association sans but lucratif fondée en 1996, Parole d’Enfants développe différents pôles d’activités en faveur des enfants victimes d’abus sexuels et de leur famille. Il s’agit de l’intervention psycho-socio-éducative auprès de l’enfant victime et de ses proches, de la formation des professionnels du secteur de l’aide à l’enfance et de la sensibilisation du grand public aux conséquences des abus sexuels subis dans l’enfance.
Site Internet : Parole d'enfants
Contenu :
Chapitre 1
« Fous le camp … mais pas trop loin ! » Vivre aux côtés d’adolescents abandonniques
Chapitre 2
La révolte des « nourrissons géants ». Quand des jeunes se mettent à maltraiter leurs parents.
Chapitre 3
Parentification et adultisme. Que deviennent les enfants chargés de porter les valises de leurs parents à la dérive ?
Chapitre 4
L’explosion de la violence et de la délinquance des jeunes ayant subis quantité d’injustices et de mauvais traitements
Chapitre 5
L’inceste : penser la prévention, accueillir le dévoilement, organiser le traitement
« AU SECOURS, ON VEUT M’AIDER ! » Venir en aide aux adolescents en révolte, en rupture, en détresse… - Tome 2 - Ouvrage collectif
La période de l’adolescence est souvent le révélateur des richesses, mais aussi des fragilités de chaque être humain, issu d’une histoire familiale et d’une société imparfaites. Les adolescents ont des façons singulières de révéler leur mal être : comportements auto-destructeurs ou passages à l’acte délictueux. Si ces comportements donnent le plus souvent à voir la colère qui habite ces jeunes, ils permettent aussi le déni, par l’adolescent et par ses proches, de la détresse et de la souffrance sousjacentes.
En quoi le symptôme développé par l’adolescent constitue pour lui l’unique moyen de se protéger de la souffrance. Quelles opportunités ont été manquées dans l’histoire de cet adolescent pour qu’il en arrive à exprimer son mal de vivre à travers un passage à l’acte ? Alors même que l’adolescent refuse d’évoquer son vécu douloureux et protège le plus souvent ses parents de toute responsabilité, ceux-ci vont-ils se montrer disposés à adopter une attitude minimalement auto-critique pour soulager leur enfant du poids qui pèse sur lui ? Lorsque la société déploie des réponses uniquement répressives aux passages à l’acte délictueux, elle se centre sur la sécurité de ses citoyens, mais entraîne cependant une consolidation des défenses du jeune qui s’ancre dans le déni de toute responsabilité pour survivre à la culpabilité. En revanche, une attitude purement compréhensive, blâmant les parents, la société, les autres en général, permet aux adolescents de faire l’économie d’une réflexion sur eux-mêmes qui pourrait leur rendre la liberté de grandir. Dès lors, comment conjuguer les interventions sociales, judiciaires, psychologiques, éducatives pour favoriser la nécessaire responsabilisation du jeune sans éviter d’interpeller la société et les parents sur le rôle qu’ils ont à jouer pour soutenir leurs adolescents ?
SAMIRA BOURHABA
Introduction : des « adolescents difficiles » aux « bienfaits de l’adolescence »
PATRICE HUERRE
A l’aide aux jeunes présentant des comportements violents
Parmi les comportements trompeurs à l’adolescence figure la violence : la violence en tant que telle cache souvent de multiples enjeux et mécanismes de fonctionnement, des plus transgressifs à des états psychopathologiques (angoisse archaïque, dépression, …).
Il importe de se pencher sur ces différentes figures afin que le débat concernant l’aide à apporter à ces jeunes ne se réduise pas à enfermer ou soigner.
Psychiatre des Hôpitaux, directeur médical de la Clinique médico-universitaire G. Heuyer (Fondation Santé des Etudiants de France), il est également expert auprès de la Cour d’Appel de Paris.
XAVIER POMMEREAU
Adolescents – psys : une rencontre impossible ?
Psychiatre des hôpitaux, chef de service au Pôle aquitain de l’adolescence du Centre hospitalier universitaire de Bordeaux. Implanté au centre Abadie, le Pôle comporte trois unités d’hospitalisation (dont un service destiné aux pré-adolescents) et un département de consultation externe. Le docteur Pommereau dirige deux unités d’hospitalisation, l’une spécialisée dans l’accueil des adolescents suicidaires, l’autre dans la prise en charge des jeunes souffrant d’anorexie grave. Depuis une vingtaine d’années, il se consacre à l’approche psychodynamique du mal-être à l’adolescence et étudie en particulier toutes les formes de violences auto-infligées, des moins dévastatrices aux plus dramatiques.
Il a publié de nombreux articles et ouvrages dont Dictionnaire de la folie, Albin Michel, 1995 ; L’adolescent suicidaire, Dunod (1996), 2ème édition revue et augmentée, 2001.
Quand l’adolescent va mal, JC Lattès, 1997, réédition J'ai Lu N° 7147. En ce moment, mon ado m’inquiète (avec L. Delpierre), Albin Michel, 2004
YVES STEVENS
Ces ados qui nous découragent de les aider : comment les aider ? Quels contre-modèles à la résignation ?
Au travers d’exemples cliniques, Yves Stevens illustre la façon dont la réalité de l’adolescent en difficulté peut être pensée par un professionnel. Comment toucher émotionnellement l’adolescent ? Comment tenter de mobiliser ses ressources parfois tellement enfouies que lui-même ne les perçoit plus ?
Psychologue à l’association « Parole d’Enfants » et en centre de santé mentale. Co-éditeur avec H. MONTAGNER du livre « L’attachement, des liens pour grandir plus libre … », aux Editions l’Harmattan :
ROLAND COENEN
Eduquer sans punir : le non-renvoi comme outil social et thérapeutique
L’auteur présente un cadre théorique et pratique dénonçant le modèle sanctionnel et les approches orthopédagogiques normatives dans leurs prétentions éducationnelles. La menace, le chantage au renvoi, la punition, apparaissent comme des exercices inutiles, contreproductifs et antagonistes d’une approche socio-thérapeutique efficace.
Educateur, psychothérapeute, chercheur indépendant en sciences humaines, il dirige également un centre pour adolescents à Bruxelles.
JULIAAN VAN ACKER
Peut-on traiter dans leur milieu naturel de vie les jeunes délinquants récidivistes acharnés ?
Après avoir dirigé un centre fermé pour adolescentes délinquantes, Juliaan Van Acker a mis sur pied aux Pays-Bas un programme d’intervention intensif et multi-systémique dans le milieu de vie de jeunes récidivistes, identifiés comme à risque de débuter une carrière criminelle.
Professeur émérite de sciences pédagogiques de l’Université de Nimègues (Pays-Bas).
Pendant 21 ans, il s’est investi dans un projet universitaire avec des familles multiproblématiques avec des enfants ou des adolescents très perturbés, particulièrement les jeunes délinquants récidivistes. Actuellement, il exerce une pratique privée à Anvers et supervise en Belgique quelques équipes de la Protection de la Jeunesse.
JEAN-YVES HAYEZ
Adolescents à la sexualité très préoccupante : principes d’intervention et vignettes cliniques
L’auteur aborde la question de la mise en place de perversions sexuelles lourdes (sadisme, pédophilie), de la « sex-dependance » sur Internet, de l’abus sexuel et de la sexualité dans la fratrie.
Pédopsychiatre, professeur ordinaire à l’Université Catholique de Louvain, directeur de l’Unité pédopsychiatrique des Cliniques universitaires Saint Luc à Bruxelles.
SIEGI HIRSCH
Perte de résilience au sein des familles néo-traditionnelles : comment les accompagner dans leurs phases de tango ?
Travailleur familial et institutionnel, pionner dans l’expérience et l’enseignement des thérapies familiales. Un ouvrage se fait l’écho de son apport dans le travail avec les adolescents et les familles : P. FOSSION et M.-C. REJAS « Siegi Hirsch, au coeur des thérapies », éditions Erès.
DENIS ADAM
Le transfert des acquis de l’institution vers la famille : un bon placement pour le jeune et ses parents
L’institution québécoise présentée dans cet atelier héberge des jeunes à problèmes d’adaptation sociale (violence, délinquance, consommation de drogues et refus de l’autorité). Comment cette structure d’hébergement peut-elle faciliter l’apprentissage de nouvelles compétences ? Comment intégrer les parents au programme pour favoriser le transfert des acquis lors de la future réintégration familiale de l’adolescent ?
Educateur et criminologue, il occupe la fonction de chef d’unité de réadaptation dans un Centre Jeunesse de Québec. Il a deux unités à sa charge, dont le programme « Transfert des acquis ».
GIANNI CAMBIASO
La drogue au carrefour de trois générations : compréhension systémique de la toxicomanie
La consommation de drogue (héroïne) par un jeune constitue souvent le seul remède que celui-ci ait trouvé pour soigner sa souffrance. Même si le jeune le nie, cette souffrance est à mettre en lien avec certaines dynamiques familiales particulières dans laquelle le jeu parental prive l’enfant d’un soutien et d’une attention appropriés.
Psychologue et psychothérapeute, il est formateur à l'Ecole de Thérapie Familiale « Mara Selvini Palazzoli » de Milan. Il est l'auteur, en collaboration avec S. Cirillo, R. Berrini et R. Mazza, du livre « La famille du toxicomane » paru aux Editions ESF.
JOHANNE LEMIEUX
Les ados ados : des clés pour mieux décoder les adolescents adoptés
Lorsqu’on travaille avec des familles adoptives, il importe de saisir les origines de la révolte
particulière des enfants adoptés ainsi que celles de l’impuissance propre aux parents adoptants.
Différents enjeux s’entremêlent à l’adolescence. Le grand défi : démêler ce qui reflète le parcours normal de l’adolescence de ce qui appartient aux enjeux de l’attachement propres aux situations d’adoption.
Travailleuse sociale au Québec, spécialisée en adoption internationale, particulièrement en intervention post-adoption et en traitement des troubles de l’attachement. Elle est l’auteur d‘un ouvrage pédagogique appelé « adopteparentalité » et co-auteur avec J.F. Chicoine et P. Germain de « L’enfant adopté dans le monde en quinze chapitres et demi ».
YVONNE DOLAN
L’utilisation de l’écrit dans le travail thérapeutique avec les adolescentes ayant subi un traumatisme
Psychologue et psychothérapeute depuis 25 ans aux Etats-Unis, elle est formatrice à la thérapie orientée vers les solutions. Elle dirige également son propre cabinet et exerce une activité de consultante. Elle est l’auteur de nombreuses publications sur le thème du traumatisme, dont « Guérir de l’abus sexuel et revivre » aux Editions Satas.
MICHEL FIZE
Parler des adolescents autrement : les bienfaits de l’adolescence
La communauté savante présente d’ordinaire l’adolescence comme un âge ingrat et les adolescents comme des êtres à problèmes ou en souffrance. C’est la vision négative de cet
âge et de ces êtres. Ce sont les méfaits d’après l’enfance, jugés attributs naturels de l’âge.
Si l’adolescence peut être ce continent noir pour quelques sujets, elle est, pour la plupart,
l’âge exaltant des grandes découvertes : maturité sexuelle, pensée propre, capacités
multiples (dynamisme, créativité). Elle est l’âge des amours, du rire, de la générosité. Oui,
il faut savoir parler autrement de l’adolescence et des adolescents ! Pour mieux les
comprendre.
Sociologue au CNRS, spécialiste de l’adolescence, ancien Conseiller Jeunesse au Cabinet de
la Ministre française de la Jeunesse et des Sports (1997-1998). Il est l’auteur de plusieurs
ouvrages sur l’adolescence dont « Le deuxième homme, réflexions sur la Jeunesse et
l’inégalité des rapports entre générations » aux Presses de la Renaissance et « Ne
m’appelez plus jamais crise ! Parler de l’adolescence autrement » aux Editions Erès.
« AU SECOURS, ON VEUT M’AIDER ! » Venir en aide aux adolescents en révolte, en rupture, en détresse…
Un ouvrage en 2 tomes destiné aux professionnels du social, de la santé, de l’éducation, de la justice, de la psychothérapie ainsi qu’aux enseignants et aux parents, publié par les éditions Fabert (Paris)
Les ouvrages sont disponible en service de presse sur demande à l’association Parole d’Enfants.
Tél. +32 (0)4 223 10 99
Courriel : Parole d'enfants
Internet : Parole
Tome 1 : Claude SERON
Tome 2 : ouvrage collectif
« Au secours, on veut m’aider » est un ouvrage en 2 tomes qui n’énonce pas une ènième théorie sur l’adolescence et ses avatars.
L’auteur propose simplement aux professionnels de la relation d’aide, de l’éducation, de la santé, de la justice, ainsi qu’aux enseignants et aux parents, des éclairages utiles pour agir et comprendre le vécu des adolescents en souffrance qui se murent dans différentes formes d’indifférence à eux-mêmes.
En effet, si l’on invite ces jeunes en révolte, désemparés ou plombés dans une inertie chronique à aller consulter un psy ou n’importe quel professionnel de la relation d’aide, cette proposition reste lettre morte. Ils se demandent à quoi bon parler de leurs problèmes ; ils ont la conviction de les connaître par coeur ! De plus, ils craignent qu’un psy les perce à jour, les piège à travers ses questions tordues et les étiquette en vertu de l’une ou l’autre de ses théories de référence.
Dans le premier tome, en invitant le lecteur à le suivre, à travers son parcours professionnel, dans l’accompagnement d’adolescents qui ne sont pas en mesure de solliciter de l’aide, Claude Seron propose différents modèles d’intervention, avec leurs atouts et leurs limites, pour agir concrètement dans diverses problématiques répandues :
- les adolescents « abandonniques » qui sollicitent constamment des preuves d’attachement tout en mettant à l’épreuve sans cesse la relation ;
- la révolte des « nourrissons géants », c’est-à-dire quand des jeunes se mettent à maltraiter leurs parents ;
- l’avenir des adolescents autarciques, chargés de porter les valises de leurs parents à la dérive ;
- l’explosion de la violence et de la délinquance des jeunes ayant subi nombre d’injustices et de mauvais traitements ;
- les agressions sexuelles : comment accompagner les jeunes auteurs et les enfants ou les adolescent(e)s victimes.
Claude Seron propose également différentes modalités pour intégrer les parents de ces adolescents en grande difficulté dans un cheminement psycho-socioéducatif restaurateur.
Le deuxième tome reprend la contribution de plusieurs orateurs à un congrès organisé sur le même thème par l’Association « Parole d’Enfants » il y a deux ans à l’UNESCO de Paris. Ouvrages disponibles en service de presse sur demande à l’association Parole d’Enfants
Tél. +32 42 23 10 99
Fax + 32 42 23 15 56
e-mail Info
Merci de votre contribution à la diffusion de l’information concernant la sortie de ces ouvrages.
L’auteur et son style d’écriture
Claude Seron est avant tout un homme de terrain, un praticien qui s’efforce de conceptualiser dans des termes accessibles à tous, le travail d’accompagnement des jeunes en grandes difficultés et de leur famille mené à l’ASBL « Parole d’Enfants » et au CLIF (Centre liégeois d’intervention familiale). Il a ainsi pu mettre à profit un conseil que lui avait donné Siegi Hirsch, un sage et pionnier dans la pratique et l’enseignement des thérapies familiales et institutionnelles :
« Ne cherchez pas à écrire comme un éminent docteur comme si votre parole à vous n’avait pas de valeur. Vous arrivez à expliquer des problématiques complexes avec des mots simples sans tomber dans le piège de la minimisation ou la sur-simplification. Vous permettez ainsi au lecteur de vivre pratiquement en direct vos interventions auprès des jeunes en manque de repères.»
L’auteur ne triche pas, il se présente avec ses failles et ses ressources ; son récit est ancré dans la vraie vie des jeunes qu’il aide à sortir du chaos, à construire quelque chose qui donne sens à leur vie et leur permet de vivre en paix avec eux-mêmes et leur entourage fragilisé, souvent dépassé.
Au début de l’ouvrage (nous sommes en 1975), c’est l’éducateur créatif, novateur et quelque peu irrévérencieux qui s’exprime. Un peu naïf, il fait confiance à son intuition, à son chaos pour bâtir avec les jeunes quelque chose de plus stable, de plus sécurisant qu’ils puissent habiter.
Au fur et à mesure de son évolution dans différents contextes professionnels, Claude Seron se forme, s’alimente auprès des meilleurs cliniciens en la matière, apprend à inclure les parents et la famille du jeune dans un projet qu’il voudrait voir émerger pour celui-ci. En effet, le jeune laissant transparaître toute l’ampleur de sa vulnérabilité à travers son inertie, son mutisme, ses réactions violentes ou auto-mutilatoires, il lui faut rechercher du soutien auprès des proches encore mobilisables.
Dans l’épilogue du livre, Claude Seron revient sur les grandes étapes de sa trajectoire professionnelle. Il jette un regard critique sur certains choix qu’il a posé durant 30 années d’activité au sein de l’Aide et de la Protection de la Jeunesse, d’abord en hébergement puis en consultation en milieu ouvert mandaté par les autorités judiciaires et administratives. Se dégage ainsi un souci constant qui l’anime : toujours chercher à ramener au sein de l’humanité ceux qui, à travers leurs actes effrayants et fracassants, ont tendance à s’en exclure.
Un travail passionnant d’artisan que nous fait découvrir l’auteur qui nous rappelle ça et là qu’on ne peut arriver à être utile à ces adolescents en révolte, en rupture ou en détresse, qu’à force de ténacité, de rigueur, de respect et de bienveillance ; sans complaisance, ni diabolisation.
Biographie
Marié et père de famille, Claude Seron est également psychopédagogue. Depuis 1975, son itinéraire professionnel lui a permis de grandir aux côtés de jeunes et de leur famille, en hébergement, en milieu ouvert, en consultation libérale, dans l’enseignement et comme intervenant familial mandaté par une autorité administrative (le S.A.J.) ou judiciaire (le S.P.J. ou le Juge de la Jeunesse). Il est co-fondateur de l’association « Parole d’Enfants », du CLIF (Centre liégeois d’intervention familiale) et de l’Institut Gregory Bateson.
Il est l’auteur de :
- AIDE OU CONTRÔLE ; l’intervention thérapeutique sous contrainte (avec JJ. Wittezaele), De Boeck, Bruxelles, 1991;
- VIOLENCE AGIE, VIOLENCE SUBIE (avec Catherine Denis, Dir), Jeunesse et Droit, Paris, 2000 ;
- MISER SUR LA COMPETENCE PARENTALE (Dir.), ERES et Jeunesse et Droit, Ramonville Saint-Agne / Paris, 2002 ;
- LA RESILIENCE OU COMMENT RENAITRE DE SA SOUFFRANCE (avec Boris Cyrulnik, Dir.), Fabert, Paris, Collection « Penser le monde de l’enfant », 2003
Association « Parole d’Enfants »
Association sans but lucratif fondée en 1996, Parole d’Enfants développe différents pôles d’activités en faveur des enfants victimes d’abus sexuels et de leur famille. Il s’agit de l’intervention psycho-socio-éducative auprès de l’enfant victime et de ses proches, de la formation des professionnels du secteur de l’aide à l’enfance et de la sensibilisation du grand public aux conséquences des abus sexuels subis dans l’enfance.
Site Internet : Parole d'enfants
Contenu :
Chapitre 1
« Fous le camp … mais pas trop loin ! » Vivre aux côtés d’adolescents abandonniques
Chapitre 2
La révolte des « nourrissons géants ». Quand des jeunes se mettent à maltraiter leurs parents.
Chapitre 3
Parentification et adultisme. Que deviennent les enfants chargés de porter les valises de leurs parents à la dérive ?
Chapitre 4
L’explosion de la violence et de la délinquance des jeunes ayant subis quantité d’injustices et de mauvais traitements
Chapitre 5
L’inceste : penser la prévention, accueillir le dévoilement, organiser le traitement
« AU SECOURS, ON VEUT M’AIDER ! » Venir en aide aux adolescents en révolte, en rupture, en détresse… - Tome 2 - Ouvrage collectif
La période de l’adolescence est souvent le révélateur des richesses, mais aussi des fragilités de chaque être humain, issu d’une histoire familiale et d’une société imparfaites. Les adolescents ont des façons singulières de révéler leur mal être : comportements auto-destructeurs ou passages à l’acte délictueux. Si ces comportements donnent le plus souvent à voir la colère qui habite ces jeunes, ils permettent aussi le déni, par l’adolescent et par ses proches, de la détresse et de la souffrance sousjacentes.
En quoi le symptôme développé par l’adolescent constitue pour lui l’unique moyen de se protéger de la souffrance. Quelles opportunités ont été manquées dans l’histoire de cet adolescent pour qu’il en arrive à exprimer son mal de vivre à travers un passage à l’acte ? Alors même que l’adolescent refuse d’évoquer son vécu douloureux et protège le plus souvent ses parents de toute responsabilité, ceux-ci vont-ils se montrer disposés à adopter une attitude minimalement auto-critique pour soulager leur enfant du poids qui pèse sur lui ? Lorsque la société déploie des réponses uniquement répressives aux passages à l’acte délictueux, elle se centre sur la sécurité de ses citoyens, mais entraîne cependant une consolidation des défenses du jeune qui s’ancre dans le déni de toute responsabilité pour survivre à la culpabilité. En revanche, une attitude purement compréhensive, blâmant les parents, la société, les autres en général, permet aux adolescents de faire l’économie d’une réflexion sur eux-mêmes qui pourrait leur rendre la liberté de grandir. Dès lors, comment conjuguer les interventions sociales, judiciaires, psychologiques, éducatives pour favoriser la nécessaire responsabilisation du jeune sans éviter d’interpeller la société et les parents sur le rôle qu’ils ont à jouer pour soutenir leurs adolescents ?
SAMIRA BOURHABA
Introduction : des « adolescents difficiles » aux « bienfaits de l’adolescence »
PATRICE HUERRE
A l’aide aux jeunes présentant des comportements violents
Parmi les comportements trompeurs à l’adolescence figure la violence : la violence en tant que telle cache souvent de multiples enjeux et mécanismes de fonctionnement, des plus transgressifs à des états psychopathologiques (angoisse archaïque, dépression, …).
Il importe de se pencher sur ces différentes figures afin que le débat concernant l’aide à apporter à ces jeunes ne se réduise pas à enfermer ou soigner.
Psychiatre des Hôpitaux, directeur médical de la Clinique médico-universitaire G. Heuyer (Fondation Santé des Etudiants de France), il est également expert auprès de la Cour d’Appel de Paris.
XAVIER POMMEREAU
Adolescents – psys : une rencontre impossible ?
Psychiatre des hôpitaux, chef de service au Pôle aquitain de l’adolescence du Centre hospitalier universitaire de Bordeaux. Implanté au centre Abadie, le Pôle comporte trois unités d’hospitalisation (dont un service destiné aux pré-adolescents) et un département de consultation externe. Le docteur Pommereau dirige deux unités d’hospitalisation, l’une spécialisée dans l’accueil des adolescents suicidaires, l’autre dans la prise en charge des jeunes souffrant d’anorexie grave. Depuis une vingtaine d’années, il se consacre à l’approche psychodynamique du mal-être à l’adolescence et étudie en particulier toutes les formes de violences auto-infligées, des moins dévastatrices aux plus dramatiques.
Il a publié de nombreux articles et ouvrages dont Dictionnaire de la folie, Albin Michel, 1995 ; L’adolescent suicidaire, Dunod (1996), 2ème édition revue et augmentée, 2001.
Quand l’adolescent va mal, JC Lattès, 1997, réédition J'ai Lu N° 7147. En ce moment, mon ado m’inquiète (avec L. Delpierre), Albin Michel, 2004
YVES STEVENS
Ces ados qui nous découragent de les aider : comment les aider ? Quels contre-modèles à la résignation ?
Au travers d’exemples cliniques, Yves Stevens illustre la façon dont la réalité de l’adolescent en difficulté peut être pensée par un professionnel. Comment toucher émotionnellement l’adolescent ? Comment tenter de mobiliser ses ressources parfois tellement enfouies que lui-même ne les perçoit plus ?
Psychologue à l’association « Parole d’Enfants » et en centre de santé mentale. Co-éditeur avec H. MONTAGNER du livre « L’attachement, des liens pour grandir plus libre … », aux Editions l’Harmattan :
ROLAND COENEN
Eduquer sans punir : le non-renvoi comme outil social et thérapeutique
L’auteur présente un cadre théorique et pratique dénonçant le modèle sanctionnel et les approches orthopédagogiques normatives dans leurs prétentions éducationnelles. La menace, le chantage au renvoi, la punition, apparaissent comme des exercices inutiles, contreproductifs et antagonistes d’une approche socio-thérapeutique efficace.
Educateur, psychothérapeute, chercheur indépendant en sciences humaines, il dirige également un centre pour adolescents à Bruxelles.
JULIAAN VAN ACKER
Peut-on traiter dans leur milieu naturel de vie les jeunes délinquants récidivistes acharnés ?
Après avoir dirigé un centre fermé pour adolescentes délinquantes, Juliaan Van Acker a mis sur pied aux Pays-Bas un programme d’intervention intensif et multi-systémique dans le milieu de vie de jeunes récidivistes, identifiés comme à risque de débuter une carrière criminelle.
Professeur émérite de sciences pédagogiques de l’Université de Nimègues (Pays-Bas).
Pendant 21 ans, il s’est investi dans un projet universitaire avec des familles multiproblématiques avec des enfants ou des adolescents très perturbés, particulièrement les jeunes délinquants récidivistes. Actuellement, il exerce une pratique privée à Anvers et supervise en Belgique quelques équipes de la Protection de la Jeunesse.
JEAN-YVES HAYEZ
Adolescents à la sexualité très préoccupante : principes d’intervention et vignettes cliniques
L’auteur aborde la question de la mise en place de perversions sexuelles lourdes (sadisme, pédophilie), de la « sex-dependance » sur Internet, de l’abus sexuel et de la sexualité dans la fratrie.
Pédopsychiatre, professeur ordinaire à l’Université Catholique de Louvain, directeur de l’Unité pédopsychiatrique des Cliniques universitaires Saint Luc à Bruxelles.
SIEGI HIRSCH
Perte de résilience au sein des familles néo-traditionnelles : comment les accompagner dans leurs phases de tango ?
Travailleur familial et institutionnel, pionner dans l’expérience et l’enseignement des thérapies familiales. Un ouvrage se fait l’écho de son apport dans le travail avec les adolescents et les familles : P. FOSSION et M.-C. REJAS « Siegi Hirsch, au coeur des thérapies », éditions Erès.
DENIS ADAM
Le transfert des acquis de l’institution vers la famille : un bon placement pour le jeune et ses parents
L’institution québécoise présentée dans cet atelier héberge des jeunes à problèmes d’adaptation sociale (violence, délinquance, consommation de drogues et refus de l’autorité). Comment cette structure d’hébergement peut-elle faciliter l’apprentissage de nouvelles compétences ? Comment intégrer les parents au programme pour favoriser le transfert des acquis lors de la future réintégration familiale de l’adolescent ?
Educateur et criminologue, il occupe la fonction de chef d’unité de réadaptation dans un Centre Jeunesse de Québec. Il a deux unités à sa charge, dont le programme « Transfert des acquis ».
GIANNI CAMBIASO
La drogue au carrefour de trois générations : compréhension systémique de la toxicomanie
La consommation de drogue (héroïne) par un jeune constitue souvent le seul remède que celui-ci ait trouvé pour soigner sa souffrance. Même si le jeune le nie, cette souffrance est à mettre en lien avec certaines dynamiques familiales particulières dans laquelle le jeu parental prive l’enfant d’un soutien et d’une attention appropriés.
Psychologue et psychothérapeute, il est formateur à l'Ecole de Thérapie Familiale « Mara Selvini Palazzoli » de Milan. Il est l'auteur, en collaboration avec S. Cirillo, R. Berrini et R. Mazza, du livre « La famille du toxicomane » paru aux Editions ESF.
JOHANNE LEMIEUX
Les ados ados : des clés pour mieux décoder les adolescents adoptés
Lorsqu’on travaille avec des familles adoptives, il importe de saisir les origines de la révolte
particulière des enfants adoptés ainsi que celles de l’impuissance propre aux parents adoptants.
Différents enjeux s’entremêlent à l’adolescence. Le grand défi : démêler ce qui reflète le parcours normal de l’adolescence de ce qui appartient aux enjeux de l’attachement propres aux situations d’adoption.
Travailleuse sociale au Québec, spécialisée en adoption internationale, particulièrement en intervention post-adoption et en traitement des troubles de l’attachement. Elle est l’auteur d‘un ouvrage pédagogique appelé « adopteparentalité » et co-auteur avec J.F. Chicoine et P. Germain de « L’enfant adopté dans le monde en quinze chapitres et demi ».
YVONNE DOLAN
L’utilisation de l’écrit dans le travail thérapeutique avec les adolescentes ayant subi un traumatisme
Psychologue et psychothérapeute depuis 25 ans aux Etats-Unis, elle est formatrice à la thérapie orientée vers les solutions. Elle dirige également son propre cabinet et exerce une activité de consultante. Elle est l’auteur de nombreuses publications sur le thème du traumatisme, dont « Guérir de l’abus sexuel et revivre » aux Editions Satas.
MICHEL FIZE
Parler des adolescents autrement : les bienfaits de l’adolescence
La communauté savante présente d’ordinaire l’adolescence comme un âge ingrat et les adolescents comme des êtres à problèmes ou en souffrance. C’est la vision négative de cet
âge et de ces êtres. Ce sont les méfaits d’après l’enfance, jugés attributs naturels de l’âge.
Si l’adolescence peut être ce continent noir pour quelques sujets, elle est, pour la plupart,
l’âge exaltant des grandes découvertes : maturité sexuelle, pensée propre, capacités
multiples (dynamisme, créativité). Elle est l’âge des amours, du rire, de la générosité. Oui,
il faut savoir parler autrement de l’adolescence et des adolescents ! Pour mieux les
comprendre.
Sociologue au CNRS, spécialiste de l’adolescence, ancien Conseiller Jeunesse au Cabinet de
la Ministre française de la Jeunesse et des Sports (1997-1998). Il est l’auteur de plusieurs
ouvrages sur l’adolescence dont « Le deuxième homme, réflexions sur la Jeunesse et
l’inégalité des rapports entre générations » aux Presses de la Renaissance et « Ne
m’appelez plus jamais crise ! Parler de l’adolescence autrement » aux Editions Erès.