Ed. Dunod, 2008
Crises, conflits, impasse élaborative des sujets et des groupes dans l’institution, répétition de pratiques questionnables, manque de cohérence théorico-clinique : en mobilisant les dimensions traumatiques groupales récentes et anciennes, le dispositif choisi et l’écoute analytique diachronique ouvrent sur les représentations et les affects – jusqu’à la passion -investis par chaque sujet dans la fantasmatique groupale et la mythique de l’institution. Le roman de sa fondation, le destin de ses idéaux, la ritualité de ses fonctions, les alliances inconscientes et notamment celles qui relèvent de l’économie narcissique sont alors mis en travail, et ce que chacun fait, avec les autres, de l’héritage, est alors questionné.
O. Nicolle, R. Kaës, A.-M. Blanchard, M. Claquin, A. Missenard, M. Pichon et J. Villier - membres du Ceffrap – interrogent ici avec F. Giust-Desprairies, L. Michel et J.-P. Pinel la problématique de la transmission et de la transformation dans les institutions. Référées diversement à la psychanalyse, leurs écoutes se rencontrent souvent par-delà des contrepoints qui nourrissent la réflexion. Tous proposent en effet une exploration de la demande, des voies d’intervention et d’élaboration qui privilégient les processus de symbolisation s’opérant par la mise en mots d’une histoire partagée, dans laquelle les sujets peuvent maintenant prendre place.
L’Institution en héritage forme ainsi le troisième volet de deux ouvrages parus dans la même collection : L’Institution et les institutions et Souffrance et psychopathologie des liens institutionnels.
Cette publication fait suite au colloque du CEFFRAP du 7 octobre 2006
L’institution en héritage : transmissions, transformations.
Que nous apprennent les interventions des psychanalystes dans les institutions ?
Crises, conflits, impasse élaborative des sujets et des groupes dans l’institution, répétition de pratiques questionnables, manque de cohérence théorico-clinique : en mobilisant les dimensions traumatiques groupales récentes et anciennes, le dispositif choisi et l’écoute analytique diachronique ouvrent sur les représentations et les affects – jusqu’à la passion -investis par chaque sujet dans la fantasmatique groupale et la mythique de l’institution. Le roman de sa fondation, le destin de ses idéaux, la ritualité de ses fonctions, les alliances inconscientes et notamment celles qui relèvent de l’économie narcissique sont alors mis en travail, et ce que chacun fait, avec les autres, de l’héritage, est alors questionné.
O. Nicolle, R. Kaës, A.-M. Blanchard, M. Claquin, A. Missenard, M. Pichon et J. Villier - membres du Ceffrap – interrogent ici avec F. Giust-Desprairies, L. Michel et J.-P. Pinel la problématique de la transmission et de la transformation dans les institutions. Référées diversement à la psychanalyse, leurs écoutes se rencontrent souvent par-delà des contrepoints qui nourrissent la réflexion. Tous proposent en effet une exploration de la demande, des voies d’intervention et d’élaboration qui privilégient les processus de symbolisation s’opérant par la mise en mots d’une histoire partagée, dans laquelle les sujets peuvent maintenant prendre place.
L’Institution en héritage forme ainsi le troisième volet de deux ouvrages parus dans la même collection : L’Institution et les institutions et Souffrance et psychopathologie des liens institutionnels.
Cette publication fait suite au colloque du CEFFRAP du 7 octobre 2006
L’institution en héritage : transmissions, transformations.
Que nous apprennent les interventions des psychanalystes dans les institutions ?