Le Journal des psychologues de décembre 2002/janvier 2003 a publié l’interview, effectué par Senja Stirn, de Norbert HACQUARD, l’ancien Secrétaire général du SNP :
« Vers une nouvelle re-structuration de la profession » dont voici quelques extraits concernant la fédération".
Il permet de comprendre comment l'historique des tentatives et le type de stratégie employé, a amené les psychologues à une re-réflexion actuelle sur les enjeux d'une structuration (Ordre ou Haut Conseil) et une pensée qui se base sur une image de représentativité de la profession.
En voici quelques extraits :
« Ces rappels permettent de comprendre la résistance d’un grand nombre de psychologues à soutenir la création d’une organisation « forte » qui serait encadrée par les responsables actuels du SNP et de l’ANOP. Le processus de mise en place de cette organisation augure mal, en effet, de son caractère transparent et démocratique... »
« ... qu’en est-il du nombre réel d’adhérents pour ces organisations qui ont fleuri à la dernière minute pour atteindre tout juste les 50 voix nécessaires donnant droit à un mandat ? La encore, le manque de transparence alimente la suspicion. Avec un tel passif, ancien et récent, il ne suffit pas d’affirmer que l’organisation a été, est et sera démocratique pour convaincre la profession... »
« Dans un tel contexte, présenter les options entre organisation « forte » ou une organisation « faible » apparaît non seulement comme une grosse ficelle utilisée pour influencer le vote (qui voudrait en effet d’une organisation faible ? ) mais semble bien concorder à la vision de collègues davantage préoccupés par leur pouvoir de séduction et leur autorité que par les attentes du public et les aspirations des professionnels. »
Lire l'article en son entier dans la PJ.
Réf : Journal des psychologues, N°203, déc 2002/janv 2003
Remerciements :Nous remercions le Journal des psychologues de la possibilité de publier nos articles qui ne sont plus diffusés publiquement.
« Vers une nouvelle re-structuration de la profession » dont voici quelques extraits concernant la fédération".
Il permet de comprendre comment l'historique des tentatives et le type de stratégie employé, a amené les psychologues à une re-réflexion actuelle sur les enjeux d'une structuration (Ordre ou Haut Conseil) et une pensée qui se base sur une image de représentativité de la profession.
En voici quelques extraits :
« Ces rappels permettent de comprendre la résistance d’un grand nombre de psychologues à soutenir la création d’une organisation « forte » qui serait encadrée par les responsables actuels du SNP et de l’ANOP. Le processus de mise en place de cette organisation augure mal, en effet, de son caractère transparent et démocratique... »
« ... qu’en est-il du nombre réel d’adhérents pour ces organisations qui ont fleuri à la dernière minute pour atteindre tout juste les 50 voix nécessaires donnant droit à un mandat ? La encore, le manque de transparence alimente la suspicion. Avec un tel passif, ancien et récent, il ne suffit pas d’affirmer que l’organisation a été, est et sera démocratique pour convaincre la profession... »
« Dans un tel contexte, présenter les options entre organisation « forte » ou une organisation « faible » apparaît non seulement comme une grosse ficelle utilisée pour influencer le vote (qui voudrait en effet d’une organisation faible ? ) mais semble bien concorder à la vision de collègues davantage préoccupés par leur pouvoir de séduction et leur autorité que par les attentes du public et les aspirations des professionnels. »
Lire l'article en son entier dans la PJ.
Réf : Journal des psychologues, N°203, déc 2002/janv 2003
Remerciements :Nous remercions le Journal des psychologues de la possibilité de publier nos articles qui ne sont plus diffusés publiquement.