À PROPOS DES LISTES ADELI ET DE LA FFPP
QUE VEUT LA FEDERATION FRANçAISE DES PSYCHOLOGUES ET DE PSYYCHOLOGIE ?
RÉPONSE : SE SABORDER
par Alain Le Bouette
Nous apprenons grace au Réseau National des Psychologues que la FFPP utilise à des fins commerciales le fichier ADELI où nous sommes censés nous inscrire à la DDASS .
Ce fichier avait pour but initial de permettre au public de s'assurer de la qualité de psychologue d'une personne.
Les masques tombent !
Voilà un gain de temps considérable : vous vous inscrivez à la liste ADELI et vous etes branchés directement avec la FFPP !
Les membres de la FFPP seraient bien inspirés de s'apercevoir que si les portes de l'administration leur sont si grandes ouvertes, c'est pour mieux les administrer !
La Fédération, selon les sources du réseau national des psychologues, ne regroupe déjà que 12% des 37000 psychologues. Est-ce ainsi qu'elle recrute ses nouveaux adhérents ? A des fins de marché peut-elle encore représenter ses membres selon les regles déontologiques qu'elle est supposée défendre ?
A l'initiative de l'InterCopsychos, des centaines de psychologues se réunissent dans des Collectifs dans toutes les régions de France, en quelques semaines. Deux principes fondamentaux les rassemblent : le droit de la personne souffrante à choisir son psy et le devoir des psy de se porter garants devant le public, par l'intermédiaire des associations...de la qualité de la formation,de la pratique et de l'éthique.
Face à une attaque de nos choix de formation,du libre choix de la personne souffrante, et à une standardisation de nos pratiques, une remise en cause de notre diplome, nous sommes de plus en plus nombreux à nous rassembler pour nous opposer et alerter nos élus, les médias...
C'est par ce réseau de terrain,de connaissances, de liens professionnels qu'un transfert de travail se constitue. Nul besoin de liste Adeli.
En se servant de cette liste, la FFPP vient de se saborder elle-meme et avouer son impuissance à pouvoir créer un transfert de travail, à garantir à ses membres et au public les règles d'ethique indispensables à notre profession.
Avril 2004
QUE VEUT LA FEDERATION FRANçAISE DES PSYCHOLOGUES ET DE PSYYCHOLOGIE ?
RÉPONSE : SE SABORDER
par Alain Le Bouette
Nous apprenons grace au Réseau National des Psychologues que la FFPP utilise à des fins commerciales le fichier ADELI où nous sommes censés nous inscrire à la DDASS .
Ce fichier avait pour but initial de permettre au public de s'assurer de la qualité de psychologue d'une personne.
Les masques tombent !
Voilà un gain de temps considérable : vous vous inscrivez à la liste ADELI et vous etes branchés directement avec la FFPP !
Les membres de la FFPP seraient bien inspirés de s'apercevoir que si les portes de l'administration leur sont si grandes ouvertes, c'est pour mieux les administrer !
La Fédération, selon les sources du réseau national des psychologues, ne regroupe déjà que 12% des 37000 psychologues. Est-ce ainsi qu'elle recrute ses nouveaux adhérents ? A des fins de marché peut-elle encore représenter ses membres selon les regles déontologiques qu'elle est supposée défendre ?
A l'initiative de l'InterCopsychos, des centaines de psychologues se réunissent dans des Collectifs dans toutes les régions de France, en quelques semaines. Deux principes fondamentaux les rassemblent : le droit de la personne souffrante à choisir son psy et le devoir des psy de se porter garants devant le public, par l'intermédiaire des associations...de la qualité de la formation,de la pratique et de l'éthique.
Face à une attaque de nos choix de formation,du libre choix de la personne souffrante, et à une standardisation de nos pratiques, une remise en cause de notre diplome, nous sommes de plus en plus nombreux à nous rassembler pour nous opposer et alerter nos élus, les médias...
C'est par ce réseau de terrain,de connaissances, de liens professionnels qu'un transfert de travail se constitue. Nul besoin de liste Adeli.
En se servant de cette liste, la FFPP vient de se saborder elle-meme et avouer son impuissance à pouvoir créer un transfert de travail, à garantir à ses membres et au public les règles d'ethique indispensables à notre profession.
Avril 2004