Par CYTERMANN Jean-Richard
FRANCE. Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche
Paris;Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche;2007;50 pages
La constitution de pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) est un des nouveaux instruments de coopération proposés par la loi de programme pour la recherche du 18 avril 2006. L'IGAENR procède dans ce rapport à un premier bilan de la mise en place des pôles observables fin juin 2007. Cette analyse nationale s'appuie sur les contributions de tous les groupes territoriaux de l'inspection générale et sur des entretiens avec les principaux acteurs du système de l'enseignement supérieur et de la recherche.
****
La mise en place des pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) [sommaire]
Jean-Richard CYTERMANN
Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche
Septembre 2007
SOMMAIRE
Introduction
1. La démarche de mise en oeuvre
1.1. Une politique aux objectifs affirmés
1.1.1. Une lisibilité accrue des grands sites universitaires
1.1.2. Une coopération accrue universités grandes écoles organismes de recherche
1.1.3. Un objectif de fusion passé en arrière plan
1.1.4. La construction d’une politique territoriale
1.2. Une politique menée vigoureusement
1.2.1. Un calendrier rapide d’émergence des premiers pôles
1.2.2. Une réforme des études doctorales décisive
1.2.3. Une préférence affichée pour la formule de l’EPCS
1.2.4. Une possibilité pour les EPCS de délivrer des diplômes
1.2.5. Quelques décisions contradictoires avec les objectifs des PRES
2. Un premier état des lieux
2.1. Un avancement inégal selon le territoire
2.1.1. Les neuf premiers EPCS
2.1.2. Les autres EPCS en gestation
2.1.3. Les PRES « non EPCS »
2.1.4. Le cas particulier de la région parisienne
2.2. Les caractéristiques et compétences des premiers EPCS
2.2.1. Le périmètre et la couverture territoriale des premiers EPCS
2.2.2. La gouvernance des premiers EPCS
2.2.3. Missions des EPCS : points communs et différences
2.2.4. Vers une typologie des PRES
3. L’enclenchement d’une dynamique positive ?
3.1. Des points d’interrogation qui subsistent
3.1.1. Les compétences transférées justifient-elles vraiment une nouvelle structure ?
3.1.2. La faible implication des grands organismes de recherche
3.1.3. Quel avenir pour des universités non incluses dans un PRES ?
3.1.4. La loi du 10 août 2007 remet-elle en cause la politique de mise en place des
PRES ?
3.2. Des signes révélateurs d’une vraie dynamique
3.2.1. Des querelles historiques transcendées
3.2.2. Des prémices d’une collaboration renforcée « universités–grandes écoles »
3.2.3. Une réelle attente des partenaires régionaux
3.2.4. Le PRES, élément décisif d’une rationalisation de la carte universitaire et de la recherche ?
4. Recommandations
5. Conclusion
6. Réponse et observations de la direction générale de l'enseignement supérieur
Index des sigles et abréviations
Consulter le rapport - en pièce jointe
Source : la Documentation française
FRANCE. Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche
Paris;Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche;2007;50 pages
La constitution de pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) est un des nouveaux instruments de coopération proposés par la loi de programme pour la recherche du 18 avril 2006. L'IGAENR procède dans ce rapport à un premier bilan de la mise en place des pôles observables fin juin 2007. Cette analyse nationale s'appuie sur les contributions de tous les groupes territoriaux de l'inspection générale et sur des entretiens avec les principaux acteurs du système de l'enseignement supérieur et de la recherche.
****
La mise en place des pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) [sommaire]
Jean-Richard CYTERMANN
Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche
Septembre 2007
SOMMAIRE
Introduction
1. La démarche de mise en oeuvre
1.1. Une politique aux objectifs affirmés
1.1.1. Une lisibilité accrue des grands sites universitaires
1.1.2. Une coopération accrue universités grandes écoles organismes de recherche
1.1.3. Un objectif de fusion passé en arrière plan
1.1.4. La construction d’une politique territoriale
1.2. Une politique menée vigoureusement
1.2.1. Un calendrier rapide d’émergence des premiers pôles
1.2.2. Une réforme des études doctorales décisive
1.2.3. Une préférence affichée pour la formule de l’EPCS
1.2.4. Une possibilité pour les EPCS de délivrer des diplômes
1.2.5. Quelques décisions contradictoires avec les objectifs des PRES
2. Un premier état des lieux
2.1. Un avancement inégal selon le territoire
2.1.1. Les neuf premiers EPCS
2.1.2. Les autres EPCS en gestation
2.1.3. Les PRES « non EPCS »
2.1.4. Le cas particulier de la région parisienne
2.2. Les caractéristiques et compétences des premiers EPCS
2.2.1. Le périmètre et la couverture territoriale des premiers EPCS
2.2.2. La gouvernance des premiers EPCS
2.2.3. Missions des EPCS : points communs et différences
2.2.4. Vers une typologie des PRES
3. L’enclenchement d’une dynamique positive ?
3.1. Des points d’interrogation qui subsistent
3.1.1. Les compétences transférées justifient-elles vraiment une nouvelle structure ?
3.1.2. La faible implication des grands organismes de recherche
3.1.3. Quel avenir pour des universités non incluses dans un PRES ?
3.1.4. La loi du 10 août 2007 remet-elle en cause la politique de mise en place des
PRES ?
3.2. Des signes révélateurs d’une vraie dynamique
3.2.1. Des querelles historiques transcendées
3.2.2. Des prémices d’une collaboration renforcée « universités–grandes écoles »
3.2.3. Une réelle attente des partenaires régionaux
3.2.4. Le PRES, élément décisif d’une rationalisation de la carte universitaire et de la recherche ?
4. Recommandations
5. Conclusion
6. Réponse et observations de la direction générale de l'enseignement supérieur
Index des sigles et abréviations
Consulter le rapport - en pièce jointe
Source : la Documentation française