Pour voir le début de la mobilisation des étudiants en psychologie à l'Université de Nice, lire l'article l'Univ de Nice - psychologie clinique en danger, ci-dessous
SUITE
Jeudi 29 avril
Devant un silence radio sur le retour des experts de la part du ministère autant que de l'université : Appels téléphoniques conjoints du directeur du département de psychologie et de l'assesseur étudiant afin d'obtenir des informations.
Le bureau du ministère a été contacté ce jour, grâce au numéro de téléphone inscrit sur les premières réponses du ministère.
Après consultation sur leur ordinateur, celui-ci nous annonce que la réponse globale concernant la psychologie à Nice est FAVORABLE.
Ceci signifie que toutes les spécialités en psychologie sont conservées pour la mise en application de la réforme LMD, y compris les spécialités cliniques !
Les trois spécialités cliniques ont été acceptés en l'état. Huit spécialités présentés et huit acceptés.
La mobilisation de chacun a porté ses fruits, mais pour combien de temps ? Quatre ans, ce qui est la durée des accréditations ? De plus, la psychologie clinique et donc toute la discipline de la psychologie est en danger dans beaucoup d'autres villes. La "victoire" devant ce recul du ministère ne doit pas être une exception niçoise ! Nous espérons que ces avancées puissent orienter quelques actions visant à défendre un enseignement supérieur de qualité, en particulier en psychologie.
La psychologie clinique doit et peut résister à toutes ces tentatives de mise à l'écart, sous un prétexte de réforme !
Restons vigilant et essayons de nous coordonner avec tous les collectifs, délégués et représentants d'autres filières de toutes autres villes contactés pendant notre dure lutte.
Il s'agit d'une orientation nationale qui touche tout l'enseignement supérieur. Il ne faut pas faire d'amalgame, mais nous avons tout intérêt d'élargir nos revendications. Il s'agit d'une atteinte à la qualité de l'enseignement supérieur.
Création de pôles d'excellence ?
Privatisation de l'université ?
Christophe FOULLEY
Assesseur au département de
Psychologie de Nice
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Jeudi 29 avril
Devant un silence radio sur le retour des experts de la part du ministère autant que de l'université : Appels téléphoniques conjoints du directeur du département de psychologie et de l'assesseur étudiant afin d'obtenir des informations.
Le bureau du ministère a été contacté ce jour, grâce au numéro de téléphone inscrit sur les premières réponses du ministère.
Après consultation sur leur ordinateur, celui-ci nous annonce que la réponse globale concernant la psychologie à Nice est FAVORABLE.
Ceci signifie que toutes les spécialités en psychologie sont conservées pour la mise en application de la réforme LMD, y compris les spécialités cliniques !
Les trois spécialités cliniques ont été acceptés en l'état. Huit spécialités présentés et huit acceptés.
La mobilisation de chacun a porté ses fruits, mais pour combien de temps ? Quatre ans, ce qui est la durée des accréditations ? De plus, la psychologie clinique et donc toute la discipline de la psychologie est en danger dans beaucoup d'autres villes. La "victoire" devant ce recul du ministère ne doit pas être une exception niçoise ! Nous espérons que ces avancées puissent orienter quelques actions visant à défendre un enseignement supérieur de qualité, en particulier en psychologie.
La psychologie clinique doit et peut résister à toutes ces tentatives de mise à l'écart, sous un prétexte de réforme !
Restons vigilant et essayons de nous coordonner avec tous les collectifs, délégués et représentants d'autres filières de toutes autres villes contactés pendant notre dure lutte.
Il s'agit d'une orientation nationale qui touche tout l'enseignement supérieur. Il ne faut pas faire d'amalgame, mais nous avons tout intérêt d'élargir nos revendications. Il s'agit d'une atteinte à la qualité de l'enseignement supérieur.
Création de pôles d'excellence ?
Privatisation de l'université ?
Christophe FOULLEY
Assesseur au département de
Psychologie de Nice