La SFP (Société française de psychologie) est une société scientifique fondée sur l'échange de savoirs entre psychologues
Elle contribue à la visibilité nationale et internationale de la psychologie française dans ses aspects scientifiques : elle est membre de l'Union Internationale de Psychologie Scientifique et assure la représentation de la France aux forums internationaux (Congrès International de Psychologie, Congrès de l'Association Internationale de Psychologie Appliquée, Commission Internationale des Tests...).
La SFP réunit un grand nombre de psychologues : chercheurs, enseignants, praticiens, soucieux d'expliciter et d'échanger les savoirs qui fondent notre discipline. Tous les champs d'application de la psychologie et tous les domaines de recherche sont représentés à la SFP.
Ses missions :
Contribuer à la constitution du corps des connaissances de la psychologie :
Stimuler et diffuser la recherche et l'innovation dans toutes les branches de la psychologie.
Susciter les échanges entre professionnels.
Favoriser les échanges entre praticiens et chercheurs.
Exprimer l'unité de la psychologie à travers la diversité de ses champs de recherche et d'application.
Défendre un exercice de la psychologie étayé sur des connaissances scientifiques et garanti par un Code de déontologie.
Elle organise aux plans régional et national, des journées d'études, des tables rondes, des colloques, des séminaires dans le cadre de la formation continue.
Elle édite deux revues :
* "Psychologie Française", qui publie des recherches originales, des synthèses relatives à un thème particulier.
* "Pratiques Psychologiques", qui propose aux professionnels une réflexion sur les pratiques quotidiennes et les méthodologies pour promouvoir la recherche appliquée.
Elle édite un bulletin de liaison trimestriel : La lettre de la SFP qui contient des informations sur les développements scientifiques de la psychologie.
Elle mène, avec d'autres organisations, des actions auprès des pouvoirs publics, et organise, avec d'autres associations, le suivi du Code de déontologie des psychologues.
Composition de la SFP
3 départements :
Département des Applications et Interventions en Psychologie (DAIP).
Département de la Recherche en Psychologie (DRP).
Département des Organisations Associées (DOA).
Chaque département comporte un bureau composé d'un(e) président(e), d'un(e) vice-président(e), d'un(e) secrétaire, de membres.
1 bureau exécutif :
Un(e) président(e), un(e) secrétaire général(e), un(e) trésorier(e), 9 vice-présidents(es), des sociétés régionales.
Des commissions de travail
Séminaire Inter-universitaire européen d'enseignement et de recherche de la psychanalyse et de la psychopathologie
POURQUOI LE SIUERPP ?
Fondé au début de l’année 2000, après de larges consultations, puis constitué en association loi 1901 au tout début de l’année 2001, le SIUERPP rassemble actuellement 123 membres, maîtres de conférences et professeurs français et européens (Belgique, Italie, Allemagne) principalement, et pour les Français, enseignant la psychopathologie et la psychologie clinique à l’Université dans le cadre des Départements ou UFR de Psychologie (16e section du CNU pour l’Université française).
Les membres du S.I.U.E.R.P.P. sont réunis par une référence commune à la psychanalyse dans leurs travaux et publications et leur souci de promouvoir un enseignement fondé sur la clinique et orienté par elle. Pour eux, cette référence partagée à la psychanalyse, sa méthode, ses objets et ses pratiques, ne vise pas une uniformité doctrinale, elle tend au contraire à refléter, autant que possible, la diversité des points de vue théoriques et des approches praxéologiques de leurs recherches et enseignements.
Cette référence commune implique que les membres du S.I.U.E.R.P.P. s’engagent à ne céder ni sur la spécificité de la méthode clinique, ni sur les exigences de la communauté universitaire dans son souci de transmission et d’évaluation scientifiques. Les nouveaux membres du Séminaire sont cooptés en assemblée générale après présentation de leur dossier attestant de cet engagement.
En conclusion, à l’origine le SIUERPP a été créé comme une instance collégiale à même de réfléchir collectivement à une prospective des objets, des modèles et des méthodes en psychopathologie et psychanalyse.
SES OBJECTIFS :
Cette instance s’est progressivement dotée des moyens et des conditions aptes à soutenir le développement de la psychanalyse et de la psychopathologie dans les champs des recherches et des enseignements qui en appellent le concours. Ce qui suppose :
D’une part de créer et de garantir les conditions d’une réflexion épistémologique et éthique sur la place de la psychanalyse dans les recherches et les enseignements de psychologie et de psychopathologie cliniques.
D’autre part de faire connaître et de promouvoir des critères pertinents et spécifiques de cette évaluation scientifique auprès des collègues des autres sous-disciplines de la psychologie, des autres disciplines universitaires concernées par la Santé, au premier rang desquelles la médecine ; auprès des étudiants et du public ; auprès des interlocuteurs institutionnels en charge de promouvoir les politiques de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Nos exigences dans l’évaluation scientifique des recherches et des formations universitaires tendent à faire prévaloir la qualité de la production intellectuelle, l’intérêt collectif de ses applications sociales, culturelles et pratiques sur l’organisation bureaucratique, uniformisante et normalisante qui met en péril l’innovation et la découverte scientifiques.
Le SIUERPP EN QUELQUES CHIFFRES :
* 45 professeurs, 10 MCF-HDR Qualifiés, 59 MCF de psychopathologie et de psychologie clinique,
* lors de ses deux réunions annuelles depuis sa création : 65 % de présents,
* près de 140 coopérations, conventions, ou contrats de recherche de dimension internationale,
* plus de 160 responsabilités éditoriales : collections d'ouvrages, direction de revues et d'ouvrages collectifs, participations actives à des comités de rédaction,
* plus de 90 responsabilités scientifiques annuelles dans des conseils scientifiques, pour des expertises, pour l'expertise individuelle au CNU, ou du fait de responsabilités dans des sociétés savantes, comités scientifiques de colloques internationaux et nationaux, expertises de rapport, etc.,
* membres de un à quatre comités de lecture : 90
* près de 900 publications d'articles entre 2000 et septembre 2003, uniquement dans des revues à comité de lecture, non compris : ouvrages et chapitres d'ouvrages et autres publications ou autres participations à la diffusion de la culture scientifique.
Pour l'ensemble des 55 collègues, directeurs de recherche, professeurs et MC-HDR :
Nombre d'étudiants en DEA en 2002-2003 : 150
Nombre de doctorants en 2002-2003 : près de 350
Dont, Nombre de doctorants en co-tutelle en 2002-2003 : 35
Nombre de thèses menées à soutenance depuis 2000 : près de 180
Nombre d’HDR soutenues depuis 2000 : 40
Direction et co-direction de DESS : 35
Nombre total d'étudiants encadrés dans ces DESS : 1100 étudiants.
PREMIERS EFFETS :
Le SIUERPP organise une journée doctorale par an où communiquent de jeunes docteurs ou doctorants devant soutenir dans l'année, avec 50 communications sélectionnées en moyenne.
Il a organisé un Colloque International à Paris 7 en juillet 2002, plusieurs Journées doctorales réunissant entre 100 et 150 participants chercheurs (Nice, Bordeaux, Aix-Marseille, etc.), plusieurs rencontres de réflexions sur l’enseignement et la recherche ayant abouti à la rédaction d’une proposition de maquette spécifique de Master Psychopathologie et psychanalyse dans le cadre de la réforme 3/5/8, des propositions quant à l’avenir des politiques des supports de publication.
Ces actions ont eu pour effet de favoriser et de promouvoir chez les doctorants de ses équipes de recherches des échanges et des débats, des mises en commun de moyens et de sites actuellement en cours de “ formalisation ” dans le cadre de la création d’une association Junior (Association Européenne des Jeunes Chercheurs en Psychopathologie et Psychanalyse-AEJCPP).
EN CONCLUSION :
Selon les statistiques publiées par le ministère pour l'année 2000-2001, la 16ème Section compte 1090 enseignants-chercheurs : 264 professeurs et 826 maîtres de conférences. En 2003, les effectifs PR et MCF sont vraisemblablement assez proches, et comprennent, bien entendu, toutes les sous-disciplines de la psychologie.
Avec 114 membres, pour la seule sous-discipline “ Psychopathologie et psychologie clinique ”, leur engagement connu dans la discipline psychologie depuis des années, la notoriété de nombre d'entre eux sur le plan national et international, et le réseau de relations que le SIUERPP entretient avec de nombreux collègues de différentes sous-disciplines qui demandent régulièrement à être informés de ses positions et propositions, le SIUERPP s’avère aujourd'hui la société savante la plus représentative, en 16ème section, de la communauté des enseignants-chercheurs en psychopathologie en France. A ce titre le SIUERPP demande aux Pouvoirs Publics et aux autres Associations Universitaires ou Professionnelles d’être consulté à chaque fois que leurs actions engageraient l’avenir de la Recherche et de la Formation en psychologie et dans les disciplines qui en appellent le concours.
Roland Gori et André Sirota,
décembre 2003
Séminaire Inter-Universitaire Européen de Recherche en Psychopathologie et Psychanalyse
SIUERPP
Président-Fondateur : Pierre Fédida
Organisation du Bureau
Président : Roland Gori (Aix-Marseille I)
Vice-Présidentes : Danièle Brun (Paris 7) et Catherine Chabert (Paris 5)
Secrétaire Général : André Sirota (Angers et Paris 10)
Trésorier : François Marty (Paris 5)
Missions et Chargés de mission
Mission “ Organisation de la recherche ” : Bureau du SIUERPP
Mission “ 3/5/8 ” : Dominique Cupa (Paris 10)
Mission “ Relations Internationales ” : Jean-Jacques Rassial (Aix-Marseille 1)
Mission “ Publications ” : Jacques André (Paris 7)
Mission “ Instance d’évaluation et critères ” : Claude de Tychey (Nancy)
Mission “ Journées doctorales ” (au 1/01/2004) : Alain Abelhauser (Rennes 2) et Anne Juranville (Nice)
Mission “ Relations avec le milieu professionnel ” : Michèle Bertrand (Besançon)
Mission “ Contacts avec la psychiatrie ” : Christian Hoffmann (Poitiers)
Mission “ Médecine ” : Danièle Brun (Paris 7)
Mission “ Ethique et déontologie ” : Alain Vanier (Paris 7)
Mission “ Relations avec la culture et l’information ” : Paul-Laurent Assoun (Paris 7)
Mission “ Prix de thèse ” : Serge Lesourd (Strasbourg)
Mission “ Annuaire et Site ” : Alain Ducousso-Lacaze (Bordeaux) et Sylvain Missonnier (Paris 10)
Séminaire Inter-Universitaire Européen de Recherche
Siège :
35, rue Elisée Reclus
93300 Aubervilliers
Tél./fax 00 33 0(1) 48 34 23 06
roland.gori@wanadoo.fr
andre-sirota@wanadoo.fr
CHARTE CONSTITUTIVE - Février 2000
Les membres fondateurs du séminaire informent de la création d'un réseau inter-universitaire européen de recherche en psychopathologie et psychanalyse. Les premières réunions ont eu lieu à Montpellier les 4 et 5 Février 2000 et à Villetaneuse le 1er Juillet 2000. Des journées doctorales sont prévues à Nice les 2 et 3 Décembre 2000.
La fondation de ce réseau relève de la nécessité de coordonner et de potentialiser les recherches des équipes universitaires en psychopathologie clinique soucieuses de maintenir et de développer leur référence à la psychanalyse sans pour autant céder sur les exigences spécifiques de la communauté universitaire.
Depuis de nombreuses années les recherches en psychopathologie clinique et en psychanalyse se développent à l'Université en se consacrant prioritairement à la souffrance psychique et à son traitement spécifique par la mise en œuvre de méthodes cliniques dans des pratiques de diagnostic, de soin ou de formation. Le nombre et la qualité des équipes de recherche françaises ou européennes et de leurs publications dans cette sous-discipline de la psychologie attestent de leur vitalité.
Si les dispositifs permettant le recueil des données cliniques à traiter peuvent être individuels ou collectifs les opérateurs épistémologiques qui en rendent compte relèvent, quant à eux, principalement de l'analyse de la dynamique transféro-contre-transférentielle. Le cas clinique, individuel ou groupal, est envisagé dans sa singularité telle qu'elle se manifeste dans un lieu déterminé par le transfert et dans une relation intersubjective renonçant à l'idéalité et aux illusions de l'objectivation. Son élaboration est soumise à la nécessité de la discussion avec d'autres, dans la tradition clinique des études de cas.
Le moment est venu de créer les conditions d'une nouvelle réflexion épistémologique portant sur l'utilisation du référentiel psychanalytique dans les recherches de psychopathologie clinique. Ce renouvellement de la réflexion porte aussi sur le redécoupage du champ où s'exerce la méthode clinique en relation avec les nouvelles demandes de société, et participe des confrontations épistémologiques qui s'imposent avec les autres sous-disciplines de la psychologie et les sciences affines à la psychopathologie que constituent les sciences du vivant et les sciences de l'homme et de la société. La spécificité de notre démarche procède essentiellement de notre adhésion à une conception de la clinique comme méthode, à distance de sa réduction à un champ d'expérimentation sur le terrain de la santé.
Un espace commun était devenu nécessaire pour permettre aux équipes et aux chercheurs en psychopathologie psychanalytique des universités de confronter leurs travaux et leurs paradigmes et de participer à la formation des jeunes chercheurs selon ces orientations de la psychologie.
Nos recherches ont également pour responsabilité de contribuer à l'évolution des formations professionnelles des praticiens de la santé aptes à prendre en charge les différentes formes de souffrance psychique et d'intervenir dans les lieux où elles viennent s'exprimer.
C’est pourquoi près de 45 chercheurs et directeurs de recherche, représentant une vingtaine d'équipes de recherche ou d'universités françaises, belges et italienne se sont réunis pour construire les bases d'un réseau européen de recherche en psychopathologie et psychanalyse.
Ce réseau est conçu pour répondre à plusieurs objectifs :
a) promouvoir la lisibilité des recherches en psychopathologie et psychanalyse, de l’individu ou du groupe, à partir d’un recensement des chercheurs et des équipes et de leurs orientations spécialisées;
b) créer les conditions d’une confrontation stimulante des paradigmes mis en œuvre dans les recherches en psychopathologie et en psychanalyse ;
c) constituer un lieu de débats pluralistes sur la scientificité en psychologie et relativement aux sciences avec lesquelles nous sommes en rapport étroit ;
d) contribuer à l’élaboration d’une politique de la recherche dans ces domaines et d’identifier les structures institutionnelles qui permettent sa mise en œuvre ;
e) créer un observatoire grâce à un réseau de communications entre équipes et chercheurs afin de faciliter les collaborations françaises et européennes et d’orienter les candidats ‡ des recherches vers les équipes les plus proches de leurs centres d’intérêts et paradigmes ;
f) contribuer à accroître et différencier les supports de publication pour les recherches dans ces domaines ;
g) contribuer à l’établissement de critères pertinents et distinctifs pour l’accès aux fonctions et responsabilités universitaires d’enseignement et de recherche, en psychologie et en psychiatrie, dans les domaines relevant de cette spécialité.
Pour réaliser ces objectifs, le Séminaire s'appuie sur les moyens suivants:
1) l'organisation d'échanges, de communications, sous forme de journées d'études, colloques, séminaires, etc.;
2) l'organisation de journées doctorales pour les jeunes chercheurs ;
3) la publication de ses propositions ;
4) l'entretien de relations avec des réseaux ayant des buts analogues ;
5) la promotion d'une réflexion sur l'éthique, l'épistémologie et les conditions institutionnelles de réalisation des recherches en psychopathologie clinique et en psychanalyse.
Le référentiel psychanalytique spécifie notre démarche en psychopathologie et en psychologie clinique. L'importance historique et la vitalité continuée de cette méthode et des élaborations théoriques auxquelles elle a donné lieu ne constituent nullement une alternative polémique vis-à-vis d'autres tentatives dans ce champ (comportementalisme, cognitivisme, etc.).
Alain ABELHAUSER (Rennes II), ANDR… Jacques (Paris 7), Michèle BERTRAND (Besançon), Sylvain BOUYER (Nancy 2), BRUN Danièle (Paris 7), Claude Guy BRUERE-DAWSON (Montpellier 3), Catherine CHABERT (Paris V), Albert CICCONE (Lyon 2), Dominique CUPA (Paris X Nanterre), Catherine CYSSAU (Paris 7), Marie-José DEL VOLGO (Marseille), Sophie DE MIJOLLA-MELLOR (Paris 7), Patrick DE NEUTER (Louvain), Catherine DESPRATS-P…QUIGNOT (Paris 7), Claude DE TYCHEY (Nancy 2), Alain DUCOUSSO-LACAZE (Bordeaux2), Vincent ESTELLON (Paris 7), Pierre FEDIDA (Paris 7), Alain FERRANT (Lyon 2), Roland GORI (Aix en Provence), Giovanni GUERRA (Florence), Philippe GUTTON (Aix en Provence), Christian HOFFMANN (Poitiers), Françoise HURSTEL (Strasbourg), Benjamin JACOBI (Aix en Provence), Anne JURANVILLE - LE GALL (Nice), Pascal KELLER (Bordeaux 2), Jean KINABLE (Louvain), Michel André LAPEYRE (Toulouse), Philippe LEVY (Paris 13), Pascale MACARY (Rennes II), François MARTY (Rouen), Claude MIOLLAN (Nice), Jean-Paul MOURAS (Paris VIII), Marie-Lorraine PRADELLES - MONOD (Strasbourg), Jean-Jacques RASSIAL (Paris 13), François RICHARD (Paris 7), RIGAUD Colette (Montpellier 3), Ouriel ROSENBLUM (Lille III), René ROUSSILLON (Lyon 2), Marie-Jean SAURET (Toulouse), André SIROTA (Paris X Nanterre), Stéphane THIBIERGE (Poitiers), Alain VANIER (Paris 7), Loïck VILLERBU (Rennes II), Mareike WOLF-FEDIDA (Caen).
CONTACT
Institut de Psychologie
71, avenue Edouard Vaillant
F - 92774 Boulogne-Billancourt cedex
Mail : soc.rorschach@univ-paris5.fr
A l'origine, la Société Française du Rorschach est née du souhait de la Société Internationale du Rorschach de créer des sociétés scientifiques internationales. La Société Française a été fondée en 1950 par Cécile Beizmann, le Professeur Daniel Lagache et le Docteur Dublineau. Elle est devenue ensuite Société Française du Rorschach et des Méthodes projectives (1962) puis Société du Rorschach et des Méthodes projectives de langue française (1987).
Elle a pour buts :
• d'organiser entre praticiens des prises de contact, des groupes de travail, de faire connaître la convergence des efforts en matière de psychologie projective,
• de faire connaître et diffuser dans les milieux scientifiques les résultats obtenus au moyen du test de Rorschach et des autres méthodes projectives,
• de représenter les chercheurs et praticiens de langue française aux réunions internationales,
• de défendre la pratique du Rorschach et des autres méthodes projectives en surveillant leurs conditions d'application, en luttant contre la diffusion et la vulgarisation abusives des tests projectifs, de leur matériel, de leurs techniques et de leurs résultats.
Après avoir, dans les premiers temps, œuvré à élaborer les outils projectifs en validant leurs fondements théoriques, et à organiser l'enseignement des méthodes projectives, la Société valorise surtout, aujourd'hui, les échanges et mises en perspective liés aux avancées conceptuelles, aux approches théoriques différentes. L'accent est mis plus particulièrement, dans les journées scientifiques, sur l'axe théorico-clinique, avec un travail de recherche sur les modèles d'interprétation permettant des rencontres stimulantes et fécondes entre chercheurs et praticiens. Il s'agit de suivre le mouvement des idées, ce qui garantit la dynamique et le caractère vivant de la Société.
MEMBRES DU BUREAU (Année 2011-2012)
Présidente d'honneur : Nina Rausch de Traubenberg, Professeur Emérite, Université Paris 5
Président : Benoît Verdon, Université Paris 5
Vices-Présidents : Catherine Chabert, Professeur, Université Paris 5 et Claude de Tychey, Professeur, Université Nancy 2
Secrétaire Général : Hélène Suarez-Labat, Psychologue clinicienne, Paris
Secrétaire Général Adjoint : Joël Croas, Psychologue clinicien, Paris
Trésorière : Geneviève Brechon, Université François Rabelais, Tours
Trésorière adjointe : Teresa Rebelo, Université de Rouen