Monsieur Bernard Verrier,
Sous-directeur des professions paramédicales et des personels hospitaliers à la DHOS
8, av de Ségur 75350 Paris 07 SP
Monsieur ,
Nous avons été informé par notre Direction que le Centre Hospitalier Guillaume Régnier participait à la validation du Répertoire des Métiers élaboré par la Direction de l'Hospitalisation et de l'Organisation des Soins du Ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes Handicapées. Par conséquent, il nous a été demandé de nous prononcer sur une fiche-métier concernant notre profession.
Depuis, nous avons contacté des collègues d'autres établissements participant à cette validation, ainsi que les psychologues qui avaient travaillé sur une première fiche-métier à l'automne 2003. Ce groupe, constitué d'une psychologue du Syndicat National des Psychologues et de psychologues du CHRU de Strasbourg, avait remis fin octobre à la DHOS la fiche-métier résultant de son travail. Nous avons constaté avec eux que la fiche qui nous est aujourd'hui présentée, ne tient nullement compte de ce premier travail.
Nous sommes également très inquiets par le but clairement poursuivi du Répertoire des Métiers, à savoir le transfert des compétences et la standardisation des pratiques.
Par conséquent, nous demandons au comité de pilotage que ce document, élaboré en dehors d'une concertation suffisamment large soit invalidé.
Les psychologues ont conscience d'une évolution de leur métier et travaillent activement à cette réflexion au sein de différentes organisations professionnelles et syndicales (Collectifs des psychologues de l'Ouest, Inter-collectifs des psychologues, etc) qui se rassemblent autour de la défense :
- du titre unique de psychologue
- du code de déontologie de la profession
- de la pluralité des pratiques et des choix de formation
Les psychologues du Centre Hospitalier Guillaume Régnier participent à cette mobilisation (régionale et nationale) qui sera source de propositions. C'est pourquoi nous tenons à rester interlocuteurs dans cette réflexion dont nous ne nous détournons pas, bien au contraire.
Nous vous prions de croire, Monsieur , à l'assurance de nos sentiments distingués
Sous-directeur des professions paramédicales et des personels hospitaliers à la DHOS
8, av de Ségur 75350 Paris 07 SP
Monsieur ,
Nous avons été informé par notre Direction que le Centre Hospitalier Guillaume Régnier participait à la validation du Répertoire des Métiers élaboré par la Direction de l'Hospitalisation et de l'Organisation des Soins du Ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes Handicapées. Par conséquent, il nous a été demandé de nous prononcer sur une fiche-métier concernant notre profession.
Depuis, nous avons contacté des collègues d'autres établissements participant à cette validation, ainsi que les psychologues qui avaient travaillé sur une première fiche-métier à l'automne 2003. Ce groupe, constitué d'une psychologue du Syndicat National des Psychologues et de psychologues du CHRU de Strasbourg, avait remis fin octobre à la DHOS la fiche-métier résultant de son travail. Nous avons constaté avec eux que la fiche qui nous est aujourd'hui présentée, ne tient nullement compte de ce premier travail.
Nous sommes également très inquiets par le but clairement poursuivi du Répertoire des Métiers, à savoir le transfert des compétences et la standardisation des pratiques.
Par conséquent, nous demandons au comité de pilotage que ce document, élaboré en dehors d'une concertation suffisamment large soit invalidé.
Les psychologues ont conscience d'une évolution de leur métier et travaillent activement à cette réflexion au sein de différentes organisations professionnelles et syndicales (Collectifs des psychologues de l'Ouest, Inter-collectifs des psychologues, etc) qui se rassemblent autour de la défense :
- du titre unique de psychologue
- du code de déontologie de la profession
- de la pluralité des pratiques et des choix de formation
Les psychologues du Centre Hospitalier Guillaume Régnier participent à cette mobilisation (régionale et nationale) qui sera source de propositions. C'est pourquoi nous tenons à rester interlocuteurs dans cette réflexion dont nous ne nous détournons pas, bien au contraire.
Nous vous prions de croire, Monsieur , à l'assurance de nos sentiments distingués