En date du 8 décembre 2003, l’Association française des psychiatres d’exercice privé et le Syndicat national des psychiatres privés déclarent, dans une lettre adressée aux psychiatres privés de France, leur opposition à toute tentative d’écrasement de la médecine libérale. Ils s’opposent à tout « découpage entre un acte de consultation et un acte psychothérapique comme cherche à l’imposer actuellement le pôle nomenclature de la CNAM-TS contre l’avis unanime des psychiatres publics, privés et universitaires ».
Ils revendiquent « une totale liberté d’orientation thérapeutique des praticiens et écartent le risque de toute protocolarisation des conduites thérapeutiques ».
Ils constatent « à la lecture du plan Cléry-Melin, qu’un grand danger pèse sur la reconnaissance de la dimension psychothérapique de nos soins dès lors qu’ils ne seraient pas conformes aux échelles évaluatives déterminées par l’ANAES, dont nous connaissons assez le caractère réductionniste ».
8 décembre 2003
Ils revendiquent « une totale liberté d’orientation thérapeutique des praticiens et écartent le risque de toute protocolarisation des conduites thérapeutiques ».
Ils constatent « à la lecture du plan Cléry-Melin, qu’un grand danger pèse sur la reconnaissance de la dimension psychothérapique de nos soins dès lors qu’ils ne seraient pas conformes aux échelles évaluatives déterminées par l’ANAES, dont nous connaissons assez le caractère réductionniste ».
8 décembre 2003